Dimanche schotch

Il ne se passait rien, losrque tout a coup il ne se passit toujours rien.

Le fervex faisait son somnifere d'effet tranquillement en moi,contre la grippe ( je sais le virus est pas encore arrivé mais moi je peux l'avoir en premier me conaissant) et il s'averait que je dormi un dimanche apres midi. C'etait un moindre mal puisque personne n'est venu. Personne, pas le moindre petit quelqu'un de la grande troupe habituelle. Autant dire qu'a une, j'etais pas assez pour jouer aux cartes.

Les petits enfant de messieurs les policiers faisaient un bruit insurmontable. De type cris. J'ai eu envi d'en tuer un, de jeter des bisons 4 dans la hai pour leur faire peur, ou qu'ils se fasse manger par notre cher ratouille mais il n'en fut rien. Ainsi, je suis rentrée et j'ai fermé la porte (ah .... quand son propre jardin paisible n'en est et n'en sera plus jamais un...)So sad le poulailler.

Demain je demenage, quelle drole d'idée. Mais ce sera du grand confort, la télé, le plaid, le pc, tout quoi. Peut etre ne deperirais-je point. Demenager c'est eprouvant, enfin surtout pour ces pauvres messieurs qui vont monter les meubles au 7eme demain. Mais pour moi aussi, qui doit faire des "valises" et le mot est faible. J'espere que les quais de l'Isere seront gentils avec moi et que la SNCF, faute de m'avoir pourri la vie pendant trois an, me laissera dormir. Ce dont je doute. Puique qui dit voie ferée ( ou Léo Feré? ou slip féré meme) dit train et qui dit train dit problemes. Soit, je m'achterai des boules qui est-ce. "Oui mais apres tu entendra pas le reveil" arf.

J'aimerais Mademoiselle cerise. Mais je n'en dirais pas plus, de maniere a laisser planer un suspens insoutenable et pesant chez mon ami lecteur (inexistant ces dernies temps, ah , et avant aussi).

On occupe ses samedis soirs comme on peut (si on tient conte de tous ces lacheurs d'amis qui s'evaporent dans les airs et au cesar palace pour des fetes au champagne ou nous n'avons pas notre place, pourquoi? ah ben parcequ'on connais pas les-dites personnes dont c'est l'anniversaire, ca peut etre un argument en effet. Cependant c'est injuste que nous on se retrouve chez "ali" (bar communal-club-privé-sponsorisé-par-heineken) pour une soirée "metal" (ma musique préférée). Le PIRE! arrivé devant la porte qui s'ouvre sur les meandres de l'enfer a retenti, parmi le brouhaha cahotique des "guitares" un "trois euros stp". Comment dire, deja JE fais l'honneur de venir a cette soirée, ok je suis sympa je critique meme pas trop, je prend sur moi et j'"ecoute" la "musique" ET il semblerai qu'on me demande une participation financiere. J'ai payé. Avec mon amie heineken fraise, nous subissons le... son. Je critique mais encore ca va. C'etait pas si affreux ( sauf a des moments), ca aurait pu etre pire, ils auraient pu inviter slayer. Le probleme est devenu plus important quand le groupe a annoncé qu'ils laissaient la place ( normal jusque la) a un groupe dont le nom resemblait vaguement a gladiateur ou radiateur (bref un nom qui fait peur) en annoncant que "nous c'etait de l'operette juque la, maintenant vous allez voir ce que c'est qu'un groupe qui a des couilles. J'ai eu peur. J'ai songé fuire. Mais finalement j'ai commandé une autre amie heineken fraise (oui c'est expres pour les filles). Nota bene: quelqu'un est allé verifier dans le pantalon du leader du groupe si les c******s y etaint ou non. Que d'humour, s'en est trop. Au moins ca a fait rire quelqu'un que je ne siterai pas (Florent).
Je pense a cette grippe avant gardiste que je suis entrain de developper, et a cet appartement tout vide qui nous attend.