Mardi, je me rappele pas que la vie est aussi longue. Tout est maintenant, j'en meurt d'ailleurs. Le dejeuner sur l'herbe mais sauf que sur une table et avec une terasse et des merveilleux. Tellement mangé de tartines. Tellement bu de thé refroidi. Un reveil en deux morceaux bien distincts et bien difficiles a recoller, ouvert les yeux il faisait soleil, la vie est belle.
Apres la distibution des tracts de la politique, un peu de douceur, la distribution des roles. Tout le monde est reuni sous le signe de la tartiflette, ca ne fait pas un seul pli. M. veut (exige) des cookies, et tout de suite. Le preneur en photo est aussi le pris e photo, c'est comme l'arroseur arrosé qu'on ne connait pas parcequ'il etait resté anonyme. C'est un peu un festin dans le sens du terme festin, mangé comme si on avait faim, du fondant, des gateaux beaucoup trop aux noisettes.C'est flou. C'est une drole de soirée ou on aurait dit l'été mais ca l'etait pas, et ou tout hesitait. Je t'ai mis au pied du mur, j'en ai pas eu l'occasion. Avez vous deja vu? maintenant oui.Faire un ecart dans le jardin. Dansé a la maniere de celui qui n'avait pas de genoux, puis pas de bras, puis pas de tete, ni de tronc, pauvre type quand meme. Le 18, c'est de retrouvailles aux Amandes. C'est rouler vite dans la gare pour pas rater les gens du train.Une soirée est si vite arrivée. Une certitude suivie d'une hesitation, je me rassure en me disant que demain il fera jour. Et quel jour, des milenaires de television, avec T mais un gout tres tres TRES amer de vide. Je pense que je n'aurais meme pas eu le temps de savoir ce que tu penses.
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