Je me souviens du souvenir dont je ne me souvenais pas: le moment ou N. a saigné du nez a cause d'un ballon de baudruche, et qu'on a arreté parcequ'il aurait pu mourir. Literalement mourir.
Comme quoi le danger ce n'est pas de consommer.
-Papa combien tu l'as vendu ton estafette?
-Je sais plus pourquoi?
-Non pour rien, c'est juste parceque je vais la racheter pour faire un tour du monde de hippies avec mes amis l'an prochain.
(A vous lisez Decartes avant de vous endormir, ca vous detend)- rien que ca!
Ca s'appelera Laisse ta fete. Mes pauvres jeunes.
On se demande bien quelles repercussions ca aura sur nous petites particules de l'univers ces elections presidentielles a l'autre bout du monde. On se demande bien si meme ca n'en aura pas, mais chut, l'optimisme est a son comble.
Rien de l'exterieur n'atteindra l'interieur du bocal. Libre donc a ceux qui jouent avec des ballons de baudruche a deux a l'interieur. Il pleut mais je ne dois plus raler, plus avoir peur. Alors voila tout est terminé, simple comme une queue de pelle comme on dit chez nous.
Elle est guerie!
Democratie.
Allez on est grands maintenant, c'est l'heure de lire des choses. C'est l'heure d'etreindre la grenouille et d'eteindre la lumiere.
vendredi 7 novembre 2008
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1 commentaire:
Il a cassé la baraque, au bas mot.
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