Je veux pas d'un laboratoire
Ou d'un devidoir a personne. Ou je me disais ouais la faudrait d'une contrebasse. Ou un coquelicot comme sur la boite de Kenzo. Une robe pour un bapteme, un anniversaire d'un vieux et celui d'une jeune vieille. Des okapis qui gambadent dans ma tete en Laponie. La ou l'esprit pouvait geler a -90° ressentis. Ou meme les yeux des chiens peuvent geler. Comme un medecin fasse a la tumeur du siecle je guette les effets secondaires, j'epluche les jours qui se sont passés apres. Chez mathilda.
Moi c'est plutot le pain d'epices. Enfin chacun sa vie, chacun sa ville.
Je me rend compte tout a un coup de la valeur inestimée, mable, des gens qui m'entourent. Du niveau d'humour dans lequel je fond et de la veracité des gens avec qui je marche. De la chance qu'on a de marcher souvent ailleurs que dans une grande ville de con.
J'entend bien toutes ces molecules qui ont debridé des cerveaux et des reseaux de neurones. J'ai peur.
J'hate que tout ca se commence, que ca accelere le processus deja lancé du printemps. D'etre dehors et d'etre tranquille. Sans pretencieux, sans maquilleurs, sans cheveux d'adultes.
lundi 23 mars 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire