entre un flash et deux pas de danse?

Dimanche, des cafés, des cafés, des cafés. Delicieux du lait, du chocolat les talons, les gens, les cartes. Aujourd'hui j'ai oublié parceque c'etait une journée delicieuse a croquer. J'ai envi de voir courage le chien pour terminer en beauté. Il commence a y avoir du vent dehors, c'est mauvais signe. Le "festival de l'enfer" continu, et dieu soit loué, je n'y suis pas. Fete de l'été memorable, dans le sens ou il ne s'est RIEN passé, a part un bande de 14 rapetous qui "regardent le dance floor du jardin de ville, wesh". Vision d'horeur que ce feu d'artifice à meme pas un euro vingt, de type petarade de souate, avec un bouquet final composé d'au moins ne fusée. Bref spectacle grandiose, qui peut decourager de sortir de chez soi ou d'emmenager dans cette ville de beauf. Quelqu'un m'a fait un compliment, une certaine Nina à qui je me doit d'etre reconnissante. Sachant qu'elle represente 50 pourcent de mon auditoir si ce n'est plus en ce moment. Tout est passé de mode, les gens, la musique, le dj, le lieu, la ville et on reste blasés paralysés de honte sur un banc. Il faut tout traverser pour pouvoir enfin rentrer chez nous. Et la, un moment d'inatention et nous voila parties toute les deux pour une traversée fantastique, hurlant ( pour ne pas dire chantant) TI AMO a tue tete, et en dansant une "valse" ( oh Strauss pardonnes moi) effrénée, tournoyant tel heu... des... mouches batant des ailes sur le dos...
Under my umbréLLLLaaa et la, et la et aussi la, hé hé hé.