J'aime le blanc

Dimanche, jour de fatigue, je dors partout ou je suis.
Comme les gens sont droles et quel drole d'idée que de rire de tout. Et meme de rire tout court, ou de pleurer ou la compasion, la foi, et la haine. Je me demande de plus en plus comment un tas d'atomes arrivés la par hasard ont pu devenir nous. Avec toute nos idées saugrenues et les emotions. La matiere reflechi et je brule de comprendre comment.
Et comme c'est ironique, de voir comme on abandonne facilement par rapport a tout le reste qui vit ou qui meurt, point.
Nous on se demande pourquoi, on se vexe, on s'eclate de rire, on meurt de peur, on pleure de joi parcequ'on trouve la vie bien, on s'enferme dans un coin et on se shoot parcequ'on est au bout du rouleau. Bien intriguant toutes ces reactions, qui avant d'etre nous sont une agitation d'une chaine de celules. Oui bon dans le fond on s'en fout et " mieux vaut gacher sa jeunesse que ne rien faire du tout" meme si cette phrase, on a un peu de mal a la comprendre. Je me reveil et je suis au bord de ma baignoir. Je dors sur place.
Je ne pense pas parceque c'est pas le moment.