Lundi, le temps file a une vitesse.
J'ai envi d'air, de bretagne, de falaises et d'océan. Je ne dessine plus, j'achete des vetements. C'est malheureux mais c'est beau les petits noeuds et les froufrous.
On se jete a la figure des trucs mais c'est pas le probleme.
Tu me ratrapes par ma manche mais c'est beaucoup, en avril ca ne m'aurait pas decouverte d'un fil, mais en mai... Tant pis,tu fais ce qu'il te plait, et s'il te plait.
Je suis decamoureuse et je change d'avis comme de chemise ( je ne porte jamais de chemise, autant dire que je n'ai pas d'avis). Tu me ratrapes par les cheveux et ce me tire et je ne supporte pas tu sais. Tu me prend par les sentiments, tu me prend tout mal tu tires sur les ficelles et c'est des cordes a noeuds qui dirigent un automate insoumis. En d'autres mots, tu n'y comrpends rien et tant pis parceque la vie est belle et que j'ai des crayons de couleurs.
Je pense a du parpier machine qui se fait avaler par une photocopieuse, un peu comme moi, "un peu tordu, un peu comme la vie".
lundi 16 juillet 2007
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