samedi 21 novembre 2009

tropicalité, verticalité, amabilité

Mais tout finit donc par passer, comme convenu.

Il a fait soleil. J'ai meme gagné a questions pour un champion, si il y avait eu egalité, on aurait été obligé de faire une mort subite sur Colette, Colette dont finalement notre generation ignore tout. Enfin on sait quand meme que c'etait un astronaute celebre, le minimum, mais rien de plus.

J'ai bien du mal a me reveiller des vacances, pourtant il va falloir y songer, trois mois plus tard. Et c'est pas ce voyage en Nautilus a vingt mile lieues sous les mers qui va arranger les choses.

J'aurais bien envi de voyager, comme nous tous, dans le nouveau monde mobile et flottant, ou l'ocean n'est qu'une vague flaque, mais aujourd'hui l'exotisme c'est mettre du curry sur ses oeufs au plat. Est ce qu'on s'y resoud jamais, je sais pas.

J'ai encore le mal de mer, cette année comme chaque année mais plus que toutes les autres années. La masse sombre de toute cette eau sans signe de terre qui s'etale dans toutes les directions qui me suit toujours, sans aucun signe de terre, pause dans le monde.

Je me retoruve encore parfois a flotter a la surface, les yeux grand ouvert sur autre chose que ma vie. Il existe autre chose, ailleurs, autre que ma vie.

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