lundi 27 octobre 2008

Le gene qui donnait un indice secret

Oh oui, rien ne va plus, il est donc l'heure d'ouvrir son porte feuille au monde et de lui dire merde moi je claque mon oseille comme un saumon, moi je me fous des pauvres, moi je peux payer. C'est une fois par an pas plus. Ne pas croire que je sois immorale. j'aime les pauvres. j'aime aussi les ours polaires, quoique j'en cottoie moins.
Mais contrairement a ces derniers ours, j'ai de quoi m'habiller pour l'hiver. Et pourtant dans le fond j'aurai moins chaud qu'eux.
Aujourd'hui, et meme hier, j'ai envi de mourir de mon pays. Ma France ca pue et ca m'enerve. Mais ou comptes tu aller ma fille?
Mais ou compte-je donc aller.
j'irai m'exiler a Bourgoin jallieu, en Norvege passer l'été, en haut la haut passer l'hiver et ce sera deja le printemps. La prothese du coeur artificielle bat. Pendant ce temps il n'est qu'octobre et deja il va neiger.
Il va neiger pour de vrai, M. plante des pensées dans le jardin. Mes pensées sont plantées la.
Et allez et c'est parti, c'est tout des mange merde, on regarde trop la television bonsoir, et l'autre qui fait de la pub pour garnier alors qu'elle mange du caviar au guerlain et tout ce bordel.
Aujorud'hui dans ma ville les jeunes n'ont plus le droit de boire, les genes du peuple n'ont plus le droit d'aller mal et voila et voila la tristesse genetique.

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