samedi 27 mars 2010

L'air comprimé à avaler avec un grand verre d'eau

Je sais je sais.
Le chat dort dans le creux du canapé et je n'ai plus qu'a m'y glisser et dormir avec lui.
Et revrire le moment ou emerveillée, je respire sous l'eau. Je savais bien que ca finirait par arriver ce beau jour, de printemps, ou les branchies pousseraient. Mais ca a été moins dur que ca, il suffisait en fait de vetir une bouteille. Jeudi.
J'ai comme deux paires de poumons et dans mon cas c'est pas peu dire. En bas, le silence se fait tout autour et pourtant des dizaines de personnes sont la a quelques metres. Mais moi je suis seule avec une main secourable qui me fait ok, et qui me montre qu'il faut admirer le fond de la piscine, le fond de la piscine. Je sais qu'un jour je reviendrai, la plage d'argent, la vie dans l'eau de la bas.

Il faut revenir sur terre et se secher.
Et profiter d'un week end plus long qu'une semaine en orbite autour du pictocube, la télé.
Ma chere et tendre fiancée la télévision, qui si on evite soigneusement les zones extremes et les south park, et les jt et les fermes des celebrités, renferme des vrais moments d'evasion sur les iles aux orchidées. Et ca peut se partager, devant une pizza et un apéro. La télé c'est la vie et aussi la mort, mais surtout la vie aujourd'hui (et des fois surtout la mort).
Ce sera toi et moi, Martini de noel.

J'adore cette journée et pourtant il pleut des cats and dogs deriere les volets. Je m'en fout il sont fermés. Il y a ce pain d'epice et ces gens la, et il y a toi qui ronronne sur mes tibias, mon petit chat pour toujours.

1 commentaire:

Ren a dit…

J'ai vu votre blogue plusieurs fois en faisant un clic sur « Next Blog » mais je n'y ai jamais fait attention. Que je suis bête. Votre billet est très charmant bien qu'il ne soit qu'une écriture rapide et scannée.

Miau.