dimanche 29 mars 2009

The sound of silence



Se sortir un peu les doigts des poches, pour prendre la pluie et marcher sur des bouts de verres avec ces enfers de talons. Pour passer de la caverne a la taverne en caravane. J'avoue avoir souffert rien qu'a l'idée de devoir faire un effort ce soir. De s'embouteiller dans des grands magasins et de ratter des bus, ratter des places, des sens, des choses. Et les trous du cul, ne pas les rater biensure.
Puis le bonheur vous tombe dessus comme un moellon.
Au moment ou on s'y attend le moins
1600 pandas et une ville infinie qui s'etend sous mes pieds. J'ai plus le vertige encore quand je regarde en l'air. Et aussi un peu le decore qui bouge vu du balcon.
Nos sangs s'houblonnent. Nos gestes se maltent. Et il reste encore tellement de temps.
Personnelement je me sens comme une mouette a qui on aurait fair la grimace, et quand moi j'envisage les gens, je ne le vois pas comme ca.
On lit le journal, celui qui nous donne la météo du 2 juillet 1954, la guere. Le papier jaune.
"Je m'amuse" a danser dans les chambres d'internat.
Il y en a qui disent nimporte quoi. Qui veulent que la porte reste ouverte pour pouvoir avoir une vie sociale avec des geeks chinois (?).
Moi je mange un choco, tranquille.
Toutes les sottise dont je suis le cerveau et qui pourrait avoir une incidence: demander au barman ou il a eu son beignet (a la boulangerie), attraper des papillons de deco dans le bar du vietnam (trop bien accroché), descendre a la cave des Berthom voir si ya pas des bieres en masse (ne peut pas atteindre la cave).
Et qui pisse ici, pisse ici, ils ont pissé dans les escaliers, devant des amoureux. C'est correct. S'aurait pu etre pire. Cette femme! je la... "plein".
Personne n'etant du genre a se moquer des gens qu'on connait pas, en costard de gala. Ha! Ha!
L'homme qui faisait visiter Lyon a la fille qui conaissait deja Lyon.
Des choses immuables: aurevoir de la main dans le couloir, chanson paillarde romantique, avec des paroles.
Mais tenez vraiment a dormir avec moi?
Papala palapalapalapam, palapalapalapalaaaaaaaaa.

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