jeudi 15 mai 2008

We dont dance.

Puis vint le temps de la valse avec Charcot, qu'on accuse d'avoir rendu "ce chateau de femmes" fou et soumis comme des machines. Nous, indignés, avec notre recul facil de 21eme sciecle. La medecine a changé.
La télé aussi. Les femmes des années 2000, les femmes a tout faire, les bonnes a rien, les femmes aux seins vomitifs, les femmes sont blondes et sentent dior. Nous sans recul. Nous qui en prenons un peu, nous qui en venons a nous dire deux choses.
1. Le carnage de femmes c'est aujourd'hui et la faute ne revient pas M.Charcot qui lui a eu la delicatesse de prendre la main de blanche.
2. Devant un spectacle si degoutant de viande a paillette, la tektonik prend alors en rapport un autre sens, des gens qui dansent et qui se contentent d'etre "juste la dance", c'est tellement moins nocif.
Et tout ca prend encore plus de sens. Un agent de la TAG en uniforme danse sur le quai du tramway. Relativisons mesieurs dames, relativisons.
Je suis decue. Mais 21h48, fin de la crise de nerf.
Grande foule lycéenne reunie au milieu de la place de la gare. Le lycéen sort meme quand il pleut, contrairement a moi. Le lycéen est tenace et courageux mais ne se bat pas pour ses idées.
Est ce que ce serait l'heure de sortir enfin de ce livre? d'aller danser? de vendre de la peinture pour trois francs six sous?
Qu'est ce que je lui dirais a cette femme qui ressemble a un homme au telephone. Bonjour madame, monsieur, voila c'est que... Mais apres tout sera finit, apres tout je suis le "cotherpeute", et j'ai deja fait "la moitié du chemin". Personne ne saura plus sur moi que moi.
Petite L. je sais deja ce qu'on te chantera quand tu dormiras pas. Et moi aussi on me chantera des berceuses.
Je pense que et je danse et je danse dans les bras des ca ira mieux demain. Meme si aujourd'hui ca va aussi.

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