dimanche 13 janvier 2008

Toi qui me donnes des ailes

Il fait chaud et il fait froid.

Tout a la fois, impossible de me mettre d'accord, non, c'est impossible, c'est indeniable, c'est les deux. Les principes, la theorie, ca fait pas tourner le monde a ce que je sache. Les principes on les oubli bien vite, c'est une heure qu'il faut pour se retrouver a coté de ses pompes. A dix kilometres de ses pompes. Viens faire un tour en haut si t'as des couilles. Je danse une valse interieure, vraiment je suis bien dans ce plaid. T'as fait ci, t'as fait ca, je sais, je me connais bien depuis le temps. Et ca valse, et ca valse et j'en ai rien a faire. C'est de la folie, la vie est en pate a sel c'est pas possible. On dirait des marionettes qui s'arreterons jamais au dessus du vide. C'est un peu nous. C'est un peu moi. C'est la veille, c'est aujourd'hui, c'est le surlendemain qu'on hurle de rire. J'en ai le vertige. C'est la musique qui va nous sauver la vie, decidement je me lasserai jamais de ma jeunesse. Tu me trouves comment? je me demande bien, qu'est-ce qui nous pousse au fond, a refaire a la chaine, (tous les memes photo qu'on a vu par centaines). En hommage a la place qu'il manque, au gout du sucre et aux sourires qui me destabilisent. Je recommence a pousser, et le printemps va venir, je vais me faire bruler les feuilles tellement j'ai faim. Je grignotte en attendant des moments savoureux, avec eux. Sauter dans des bras et rire aux eclats, regarde ce qu'il m'arrive alors. Tadaaaaaaa, c'est une citrouille qui se change en pantoufle, mais en jolie pantoufle, non je ne suis pas nimporte qui. On est la, on a des petits coups mites alimentaires. On est la et c'est deja pas mal, le bonheur du train qui entre en gare, des gens qui dorment sur les canapé grenoblois

Je pense que je craque pour la vie. Litteralement.

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