jeudi 12 juillet 2007

Glorious pate à modeler

Hmmmm j'ai faim de nouveaux tissus decoupés en forme de vetements. Oui comme une fille et ses mauvais cotés. C'est sombre, tragique, je sais.
Jeudi, j'aime mes amis, mais surtout l'argent. Tel des fourmilles ( avec deux L), nous rejoingnons la fourmilliere qu'est Lyon pour voir le feu dentifrice du 14 juillet qui doit etre, outre les fusées multicolores et variées, une fete importante. J'aime percevoir un salaire (tient! quelle etrange personne) surout quand il est minoré de 30 pourcent et que surprise! prime de 20 pourcent. Genre indemnités de "je ne suis pas mort donc c'est bien". Vive moi.
C. est allée la ou il ne fallait pas mais elle se sait et elle le nie... mais je pense a elle et j'espere qu'elle ne pleurera plus comme une madeleine.
Et si c'est le cas, je lui ferais du cacao pour l'accompagner et ce dans la ville mythique qu'est Lépin le lac, a savoir aiguebelette. Nos vacances de 1m2 de plage. Mais les sanitaires sont bien quand meme. Et ca bouge a lépin le soir. Ah oui non c'est faux il y avait 7 jeunes. Et c'etait nous.
Vivement quand meme. Que C. nous prepare du thé, a nous les rares filles ( quoique cette année s'annonce une certaine parité... au grand plaisir de ces messieurs). De T. qui vomi sans s'en rendre compte et qui tousse un petit peu a cause des 78 cartouches de marboro. De E. qui cherche "de la meuf" sauf que de toute evidence il n'y en a pas, c'est beaucoup trop campagnard pour ca. En bref j'aime bien surtout que cette année il y aura de nouveaux visiteurs. Je sens que C. va me faire rire a ne pas aimer manger et a stresser du lac. Je la vois deja "etre la, avec l'eau et je sais pas mais attend pourquoi ya ca la oh non j'ai peur des sanitaires".
F et moi sommes la ou je n'avais jamais été dans ma propre demeure (propre, tout est relatif, car j'y vis). Sur la mezzanine sur le petit salon en bois et nous prenons le thé, qui s'avere etre un chocolat delicieux mais froid.
Je pense a ce soir ou je devrai faire une lessive et ca me depite. Oh mon dieu, une tache menagere.

Aucun commentaire: